Le Wanderlust accueillait samedi 15 juin le jeune label français Roche Musique composé de Cézaire, fondateur de la maison de disque, Kartell, French Kiwi Juice, Hot Steppa – dont fait aussi parti FKJ – et l’allemand Xtrafunk. Les artistes prometteurs ont sans doute choisi l’endroit idéal pour fêter comme il se doit leur premier anniversaire : soleil au rendez-vous, l’habituelle ambiance tropicale de la boite de nuit située sur les quais de Seine, de quoi se laisser « chiller » dans les règles de l’art.
Après s’être installé aux platines, Xtrafunk nous a proposé un set funky – du coup – et très séduisant pour accompagner le coucher de soleil parisien et nous lancer doucement dans la soirée.
Cézaire s’est à son tour approprié le lieu pour lui donner un décor plutôt Old House avec un set enivrant.
Il est 21h30, le ciel s’assombrit, la soirée, elle, s’est lancée. FKJ prend le relais du patron qui s’est entre temps retourné vers nous : « Vous kiffez ? J’espère que ça va être une bonne soirée ». Nous jetons un rapide coup d’œil sur la terrasse extérieure de la boite où la foule se masse petit à petit. Il sourit. « Ca fait du bien de savoir qu’autant de monde écoute encore la musique qu’on peut faire ». Une heure plus tard, la file d’attente s’allonge quasiment jusqu’à la gare d’Austerlitz tandis que Kartell continue de faire groover la foule avec un set percussif. Toute l’équipe du label est derrière lui ainsi que Darius, le special guest de la soirée et les deux fondateurs de Pains Surprises, moustaches au vent. Les basses, le son plongé entre nu-disco et deep-house avec des sonorités empruntées à la Old School.
Hot Steppa arrive aux platines tandis que Darius s’installe à l’intérieur de la boite. La moitié de Cherokee et le duo français posent définitivement les bases avec des rythmes sexys pour deux excellents sets éclectiques. Cézaire et Kartell nous le disaient en interview, la musique de leur label est tropicale et sensuelle. Il suffisait de voir le monde qui s’entassait et dansait dans les deux parties du Wanderlust pour pouvoir confirmer leurs dires.
Le fondateur de Roche clôturait la soirée extérieure avec un peu plus de deux heures et demies de DJSet tout comme l’ancien membre de Shiny Disco Club, lui à l’intérieur de la boite. Vers 3h30 je demande à Cézaire - qui mixe déjà depuis une bonne heure et demie - à quelle heure il doit terminer son set. Réponse de l’intéressé : « Quand ils viendront me dire d’arrêter. Personnellement, je peux tenir toute la nuit s’il le faut ».
Il est 21h30, le ciel s’assombrit, la soirée, elle, s’est lancée. FKJ prend le relais du patron qui s’est entre temps retourné vers nous : « Vous kiffez ? J’espère que ça va être une bonne soirée ». Nous jetons un rapide coup d’œil sur la terrasse extérieure de la boite où la foule se masse petit à petit. Il sourit. « Ca fait du bien de savoir qu’autant de monde écoute encore la musique qu’on peut faire ». Une heure plus tard, la file d’attente s’allonge quasiment jusqu’à la gare d’Austerlitz tandis que Kartell continue de faire groover la foule avec un set percussif. Toute l’équipe du label est derrière lui ainsi que Darius, le special guest de la soirée et les deux fondateurs de Pains Surprises, moustaches au vent. Les basses, le son plongé entre nu-disco et deep-house avec des sonorités empruntées à la Old School.
Hot Steppa arrive aux platines tandis que Darius s’installe à l’intérieur de la boite. La moitié de Cherokee et le duo français posent définitivement les bases avec des rythmes sexys pour deux excellents sets éclectiques. Cézaire et Kartell nous le disaient en interview, la musique de leur label est tropicale et sensuelle. Il suffisait de voir le monde qui s’entassait et dansait dans les deux parties du Wanderlust pour pouvoir confirmer leurs dires.
Le fondateur de Roche clôturait la soirée extérieure avec un peu plus de deux heures et demies de DJSet tout comme l’ancien membre de Shiny Disco Club, lui à l’intérieur de la boite. Vers 3h30 je demande à Cézaire - qui mixe déjà depuis une bonne heure et demie - à quelle heure il doit terminer son set. Réponse de l’intéressé : « Quand ils viendront me dire d’arrêter. Personnellement, je peux tenir toute la nuit s’il le faut ».
Finalement l’équipe de performeurs se retrouvera jusqu’à six heures du matin derrière FKJ et Kartell aux platines, histoire de finir en beauté.
En partant, après avoir remercié et félicité l’équipe de Roche Musique pour cette soirée, Cézaire me glisse à l’oreille : « C’est surtout le monde qui est venu qu’il faut remercier, t’as vu l’ambiance de malade qu’ils nous ont mise ? ». Avoir tenu un véritable show pendant presque douze heures d’affilée et rester humble, voilà sans doute la recette d’un succès mérité pour le label.
Source : RadioVL
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